Non! Mais c'est Bliss L. Cooper ! Génial ♥ I want you to be crazy cause you're borin' baby when you're straight
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| Sujet: Re: Victoria B. St. James feat Julianne Hough Lun 14 Mar - 19:33 | |
| - La présentation:
Victoria Britanny St. James "Vis tes rêves, ne rêve pas ta vie"
▬ feat Julianne Hough (c) mayiie |
Bonjour, moi c'est "Victoria Britanny St. James", mais mes amis m'appellent "Vicky", on m'a souvent dit que ça m'allai mieux Sinon j'ai "19 ans" vu que je suis né(e) le 02/09/1991 à "Londres". Mon prénom ne vous donne pas une idée pour mon sexe ? Et bien je suis une fille !! Qui vient de "l'Angleterre" . Je suis "célibataire, et je recherche un garçon puisque je suis hétérosexuelle.J'appartiens au groupe adults time. Je n'ai pas fait de prison
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JE VEUX JUSTE TE CONNAITRE UN PEU MIEUX
| ◥ Toi, tu as du caractère je le sens, je le sais !!
Une fille blonde, qui est mannequin, ça doit être fort probablement stupide ! Victoria peut être du genre à frapper tous ceux qui sont du genre à prononcer les mots « blonde » et « stupide » en parlant d’elle. Son apparence simple et un peu innocente ne fait pas sa personnalité. En fait, Victoria est une fille très intelligente, qui aurait probablement eu un brillant avenir à l’université si elle n’avait pas préféré le mannequinat. Bien souvent, elle trouve son mot à dire dans les contrats qu’elle signe, et elle ne signe jamais ceux-ci sans lire toutes les clauses qui s’y trouvent, comme son père lui avait appris. De plus, Vicky a une sorte de sixième sens pour trouver les personnes qui tentent de la berner. Quand elle réussit à trouver une de ses personnes, Victoria peut devenir assez méchante, puisqu’elle est colérique. Par contre, à première vue, il est impossible de s’en douter, puisque naturellement, Victoria est très sympathique et a beaucoup d’assurance. Quand elle entre dans une pièce, elle aime déplacer de l’air. C’est normal, puisqu’elle est énergique de nature et ne doute jamais d’elle-même, sauf dans des situations majeures. Victoria aime être entourée par plusieurs personnes. Ayant beaucoup voyagé dans sa vie, Victoria a toujours été habituée à avoir de nombreuses personnes autour d’elle, c’est pour cette raison qu’elle n’aime pas vraiment être toute seule. Heureusement, elle a un certain don pour mettre les gens à l’aise, puisqu’elle essaie de bien s’entendre avec tout le monde, sauf quand elle voit qu’une personne la juge par la couleur de ses cheveux ou par son métier. Un peu bipolaire, elle est toutefois capable de se montrer hypocrite quand il le faut, même si elle déteste la personne en face d’elle. Finalement, Vicky est un peu immature, ce qui ne vient pas aider son image de blonde idiote qui est pourtant fausse. Ayant souvent pris l’avion, il est arrivé qu’elle a déjà été photographiée par des paparazzis l’ayant reconnu ; il n’y a pas une photo où elle n’a pas une peluche de Bob l’Éponge entre les mains. Ce ne sont que des choses simples, comme un chaton Hello Kitty sur le porte-clés de sa voiture, mais ça prouve qu’au fond, Victoria garde quand même l’esprit d’une enfant quelque part. |
| ◥ ~> Mon corps, il est beau non ?
Si Vicky est si pétillante et dégage quelque chose de doux et sympathique, c’est parce que son physique accompagne bien sa personnalité. Comme tous les membres de sa famille, Vicky n’est pas très grande. Par contre, cela ne l’a pas empêché de devenir mannequin pour des marques commerciales, qui pouvaient très bien faire fi de cette taille plutôt moyenne. N’ayant jamais mesuré plus d’un mètre soixante-huit depuis son adolescence, Victoria a toutefois quelques kilos de plus que les autres filles de sa taille, mais c’est parce qu’elle est très sportive et que ces kilos supplémentaires se trouvent surtout à être des muscles au niveau des bras et des jambes développés au cours de ses nombreuses heures de sports. Si Victoria est devenue mannequin, c’est surtout en raison de son apparence en général. Son visage délicat et sans défauts, ses longs cheveux blonds bouclés et ses yeux bleus remplis de vie. Victoria arrive à un âge où normalement, il faudrait qu’elle commence à trouver des contrats pour des marques davantage pour les adultes, mais elle n’a pas à le faire, puisque sa beauté est celle d’une éternelle adolescente, du moins, pour le moment. Il est plutôt rare de voir Vicky habillée de manière qui laisse à désirer. Durant sa carrière, elle a souvent appris qu’elle devait être toujours prête à toute éventualité. Donc, même si elle ne porte d’un jean et un haut noir des plus ordinaires, elle se débrouille toujours pour compenser en portant des talons hauts, ou bien en remontant ses cheveux en un chignon. Victoria décrit son style comme simple, mais élégant. Il est évident qu’elle porte beaucoup les vêtements des compagnies qu’elle représente, d’autant plus que bien souvent, elle ne paie pas pour les obtenir. |
| ◥ Han mais je t'ai dis que j'aime pas la glace !!!
Le seul péché mignon de Victoria, c’est le chocolat, sous toutes ses formes. La glace au chocolat, des chocolats dans une boîte, une fondue au chocolat avec des fruits, peu importe. Tant que ce qu’elle mange contienne du chocolat, elle est heureuse. Ses amis ne se donnent plus de mal à lui trouver ce qui lui ferait plaisir quand vient le temps de lui faire un cadeau : Du chocolat ! Un mannequin qui aime le chocolat peut sembler peut-être contradictoire, mais Victoria s’en moque un peu. Premièrement, quand ses premiers employeurs l’ont embauchée, ils lui ont fait clairement comprendre qu’ils voulaient un mannequin représentant la moyenne des adolescentes et jeunes adultes du pays, pas une anorexique. De plus, Vicky arrive à compenser en faisant beaucoup de sport. L’hiver, elle pratique le snowboard, et l’été, c’est surtout le volleyball et le jet-ski, même si ce dernier est plus ou moins un sport. Quand elle se tient avec des garçons au football américain, Vicky est toujours la première fille à être choisie, puisque non seulement elle semble avoir un talent pour tous les sports, mais elle a un bon esprit d’équipe. Un peu immature, Victoria adore les peluches. Il est assez rare qu’elle n’a pas au moins une peluche avec elle quand elle voyage, et certains petits accessoires de son quotidien font voir qu’il reste une enfant en elle. D’un autre côté, Vicky déteste qu’on la prenne pour une blonde idiote et qu’on tente de la berner, peu importe le point. Elle peut sembler un peu folle parfois, même immature, mais elle n’est pas stupide pour autant, et elle le fait savoir rapidement. Victoria n’aime pas les personnes prétentieuses, qui sont pourtant nombreuses dans son domaine. Victoria n’aime pas également les préjugés, comme ceux qui pensent qu’elle est trop « grosse » pour être mannequin. Elle ne le croit pas, et d’autres personnes plus influences non plus, et c’est ce qui lui convient parfaitement.
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BON JE VEUX TOUT SAVOIR DE TOI MAINTENANT !
◥ Tu es né tel jour à telle heure...et bla et bla et bla..hein ?« Si on prenait une carte du monde, je pourrais y tracer ma vie de ville en ville, de pays en pays. Premièrement, ma vie a commencé à Londres, au moment de ma naissance. L’histoire que je croyais connaître jusqu’à aujourd’hui, c’est que suite à un accouchement difficile, ma mère est décédée, et mon père m’a pris sous sa charge. Homme d’affaires avec un cœur et un esprit sain, contrairement à de nombreux de ses collègues et compétiteurs, il a eu beaucoup de mal à se remettre de la mort de sa première épouse, lui qui était déménagé en Angleterre pour vivre à ses côtés. Il m’a toujours dit que c’était la seule femme qu’il n’avait jamais vraiment aimé. Pour lui, il était maintenant impossible de rester en Angleterre.
Originaire de Chicago, mon père attendit un an pour que j’obtienne la nationalité américaine plutôt qu’anglaise, persuadé qu’il ne retournerait jamais dans ce pays. Environ deux ans après ma naissance, donc la mort de ma mère, il a épousé une autre femme, qui a donné naissance à deux jumeaux. Me voilà donc dans une grande maison de campagne à Chicago avec deux frères. Cependant, en raison des nombreux voyages de mon père, ma belle-mère en avait marre, et a commencé à croire qu’il la trompait. Elle a donc demandé le divorce, et une solide pension alimentaire. Je n’ai jamais vraiment revu mes demi-frères, pour mon plus grand plaisir d’ailleurs, parce que ce que j’aimais, c’était passer du temps avec mon père. Il me cessait de dire que j’étais sa petite princesse, et à chaque fois, je le croyais. Je l’aimais beaucoup.
En Louisiane, mon père s’est remarié encore une fois, et est resté trois ans avec la femme qu’il a épousée, donnant naissance à deux enfants, un garçon et une fille. La famille St. James s’étendait donc dans trois villes différentes, parmi six enfants. Ce qui fit échouer ce nouveau mariage, c’est le fait qu’il obtint une nouvelle promotion dans son entreprise : représentant à l’étranger. En quoi consistait ce travail ? Se promener de ville en ville, constamment, résider dans les hôtels les plus luxueux, participer à des soirées importantes et avoir des conférences un peu partout à travers les États-Unis. Ma seconde belle-mère se dit incapable de le suivre, et le menaça de divorcer s’il acceptait le poste. Trouvant que pour mon intérêt, ce serait mieux de partir avec lui que de rester avec cette femme, il a accepté ce divorce, et ensemble, nous sommes partis faire le tour des États-Unis. Je suivais des cours par correspondance depuis ma première école qui se situait à Chicago, j’envoyais régulièrement les devoirs que je faisais et tant que je maintenais de bons résultats, je pouvais continuer à voyager avec mon père. C’est donc dans de grands hôtels et autour du monde que je suivais mon père partout. Je commençais même à avoir l’habitude des projecteurs, des soirées où je devais me montrer polie et élégante.
C’est à New York, quand j’avais quinze ans, que je rencontrai une représentante d’une agence de mannequinat qui travaillait pour des boutiques telles que Forever 21 et Macy’s. Il ne s’agissait pas de la haute couture, mais de boutiques où les vêtements se vendaient relativement bien. Elle dit à mon père qu’elle avait besoin de nouveaux visages pour représenter les marques pour les adolescentes, et que même si je n’étais pas encore très grande, j’aurais la tête parfaite pour l’emploi. Mon père m’a fait part de cette discussion, et le lendemain, je rencontrais la représentante, bien surveillée par mon père qui se présentait comme mon agent. Je voyais bien que ça lui faisait plaisir, même si ce n’était pas son métier premier.
Au cours d’un festival de mode à Montréal, au Canada, je fis mon premier défilé. À l’âge de seize ans, je ne comprenais pas pourquoi les mannequins étaient tous aussi sérieux, alors que moi, dans les séances photos que je faisais, il fallait que je me montre souriante et heureuse. J’ai donc décidé de jouer la naïve, comme si je ne le savais pas que je devais être sérieuse, et je m’amusai en défilant. Je souriais, je dansais un peu. Tout portait à croire que ce fut apprécié, puisque je devins un des visages principaux pour la marque, et m’amuser était devenue ma « signature », en quelques sortes.
C’est à Boston qu’à l’âge de dix-sept ans, je rencontrai un jeune homme qui, je le croyais, pourrait devenir l’homme de ma vie. Je n’étais pas très vieille, mais j’avais beaucoup plus d’expérience de vie que certaines personnes qui avaient le double de mon âge, et lui avait trois ans de plus que moi. Deux ans plus tard, il y a quelques mois de cela en fait, il me demanda en mariage. C’est à ce moment que je me séparai de mon père, le laissant continuer sa route. De plus, celui-ci était sur le point de prendre sa retraite, et me dit qu’il reviendrait à notre première maison à Chicago, et où on serait heureux jusqu’au jour où j’allais me marier. Je crus que ce serait dans un bon moment, quand je me rendis compte que la bague de fiançailles, qui valait une fortune, offerte par mon fiancé, avait été payé avec de l’argent qu’il avait dérobé de mon compte en banque, et que ce n’était pas le seul achat dispendieux qu’il avait fait. Si je ne l’arrêtais pas à ce moment là en portant plainte contre lui, chose qui pouvait sembler étrange, mon compte en banque qui n’était pas plus élevé que cela – le nécessaire pour vivre – serait complètement vide.
C’est finalement à Chicago que je suis venue m’établir il y a environ deux semaines de cela. Mon ex-fiancé est en prison en ce moment, et je n’ai pas l’intention de laisser tomber les charges contre lui. De plus, ce n’était pas la première fois qu’il commettait une infraction du genre, c’est ce qui fut découvert au cours du procès. Continuant toujours le mannequinat, j’ai l’intention de recommencer une nouvelle vie, même si tous ces rebondissements risquent de ne pas la rendre facile. J’ai encore quelques contrats çà et là qui m’obligent à me déplacer, mais je reviens toujours à cette première demeure, la maison que mon père avait achetée à Chicago. C’est d’ailleurs en revenant de la semaine de la mode à New York que je découvris une curieuse lettre qui m’était destinée, avec la photo d’une femme que je ne connaissais pas. À l’endos de la photo, il était écrit que cette fille était en réalité ma sœur jumelle. Il fallut que j’appelle mon père pour apprendre que c’était vrai ; j’avais une sœur jumelle, mon père n’ayant pas été capable de s’occuper de deux enfants à la mort de sa première femme. Il a donc fait adopter cette jeune femme, qui s’appelait Joyce aujourd’hui. Vais-je la croiser ici ? Comment vais-je l’apprendre ? J’ai soudainement l’impression que ma vie est devenue un tissu de mensonges… »
Dernière édition par Bliss L. Cooper le Lun 14 Mar - 20:19, édité 1 fois |
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